Vous n'allez pas me croire [Puisque j'vous l'dit !] : Tout petit déjà, je n'aimais pas Star Wars. Je préférais lire Jules Verne.

La preuve que je n'aimais pas Star Wars quand j'étais petit ? Fastoche ! Je ne savais même pas ce qu'était Star Wars dans les années soixantes ! D'ailleurs, à l'époque des sixties, Star Wars ne connaissait pas un franc succès parmi mes amis et camarades syndiqués de classe ouvrière au collège.

Même qu'en 1968, les médias parlaient plus des étudiants-diants que de Star Wars : c'est vous dire comme ce film a vu le jour dans l'indifférence la plus totale !

A contrario [ou ailleurs...] , cette semaine, le dernier volet de Star Wars se pointe au Festival de Cannes entre Woody Allen et la bretelle de la robe de Sophie Marceau. Bien ! Alors quoi ? Alors... Vous avez vu des jeunes étudian-dianter, pavés à la main, au Quartier Saint-Germain ? Non !! En 2005, l'Homo Sapiens Juvenus préfère trouver de l'argent de poche pour acheter un ticket de cinoche pour la prochaine séance de Star Wars et, accessoirement, s'équiper en tente de camping-duvet-matelas-trousse de survie histoire de pouvoir passer une dizaine de nuités devant la porte du ciné.

Aaaaah ! Nous ne sommes plus en 68 !

Et moi dans tout ça ? Voilà : je n'appréciais pas Star Wars. J'étais plus enclin à me plonger dans K Dick, Van Vogt ou Paul Van Herck et son riz au lait paradisiaque. Il faut dire que je n'avais jamais trop regardé un film Dark Vadorien en entier. je n'avais vu que quelques passages des épisodes 2 et 3.

Or donc, Crésudi dernier, pris d'un moment d'égarement inexplicable, je me suis tapé le Star Wars number one sur M6 : OK ! J'ai enfin pigé l'histoire et je dois dire que j'ai beaucoup aimé !!!

Cette semaine, je suis donc 100 % STAR WARS !!!! Yeah !

PS : puisque ce billet ne concernait pô le sujet premier de ce blog, je me permets de m'auto-spammer honteusement : Sorcier Glouton. Rhhhhaaaaaa ! Que ça fait du bien !